25 juin Clôture 33 participants
Journée exceptionnelle, la randonnée n’est qu’un prétexte il s’agit de se retrouver entre amis pour passer une agréable journée. Rendez vous à la cabane de chasse d’Ivrey.
Guy a installé le barbecue et surveille le démarrage du feu. Certains viendront nous rejoindre à midi. Nous sommes donc seulement 22 au départ de la marche du matin.
L’humeur est joyeuse, il fait très chaud mais Bernard nous a prévu une balade à l’ombre. Pas trop de dénivelé, un sentier bien sec, une seule petite difficulté pour arriver au Gour de Conche, Cascade de 17 mètres, située dans un petit cirque rocheux.
C’est au pied de cette cascade, dans le Gour, que Gustave Courbet a peint ce paysage bucolique. Le Conche se jette très rapidement dans un autre ruisseau : le Todeur, affluent du Lison.
Ne trainons pas c’est bientôt l’heure de l’apéro. 6 kms pour 200 m de dénivelé, c’est suffisant pour un dimanche.
Comme à l’accoutumé le buffet est royal, pain surprise, pizza, salades diverses et variées, charlotte, tartes, flan, tiramisu et bien entendu les grillades concoctées par le maitre du feu : Guy.
Pour les boissons fraiches le Président et son épouse Martine ont assuré l’intendance !
Seize heures vous avez dit 16 h ! Vite on sort les cartes, les jeux de boule.
Qui veux aller au mont Poupet ? Dix randonneurs sont partants !
Les commentaires vont bon train :
- Il fait trop chaud
- Cela monte
- C’est loin
Qu’importe la petite troupe s’ébranle sous le soleil.
C’est vrai, il fait chaud, c’est vrai ça grimpe, c’est encore plus vrai c’est long, quand est ce qu’on arrive ?
172 marches et nous voici enfin au belvédère de la croix. Mais le Mont Blanc joue les arlésiennes, trop de brume de chaleur, dans le lointain on aperçoit seulement quelques cumulus. Nous nous consolons en admirant la magnifique vue sur Salins les Bains et la vallée environnante
Redescendre les 172 marches est plus facile pour le souffle mais moins pour les genoux.
8 kms 600, 350 mètres de dénivelé et nous voici à la cabane de chasse.
Personne pour nous plaindre, certaines disent même qu’elles ont également randonné. Va-t-on les croire ? bien sûr ! Surtout que les tables sont dressées et que la bière est fraiche.
Les joueurs de pétanque sont heureux, ils ont fait match nul.
Cela sent bon les saucisses, la journée se termine comme elle a commencé avec des rires et de la bonne humeur.
Domie C.
